On y sera : Sónar 2014


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sonar3Lorsque l’on parle de Barcelone, de l’été et des festivals, les gens ont tendance à penser au Primavera alors qu’ils devraient plutôt penser au Sónar qui, contrairement à son frangin éclectique et indigeste, propose toujours une sélection pointue pour les amateurs de musiques électroniques. Pour ses 21 ans, Barcelona’s International Festival of Advanced Music and New Media Art déroulera du 12 au 14 juin une programmation XXL avec entre autres, Massive Attack, Bonobo, James Holden, DJ Harvey, Theo Parrish, Ben Frost, Nils Frahm, Happa, Ron Morelli et j’en passe. Au-delà de l’electro pure le festival explore également le paysage pop avec Lykke Li, Caribou, Chris & Cosey, Röyksopp & Robyn ou encore les russes de Love Cult. Du gros, du lourd, mais pas que puisque des artistes plus underground auront aussi leur place.

Au rayon des surprises, les nostalgiques des boums 90’s pourront également apprécier le retour sur scène de Neneh Cherry accompagnée par RocketNumberNine. En marge de la sélection officielle, le Sónar propose surtout un off de haute voltige tout au long de la semaine afin d’apprécier dans des contextes à échelle humaine, dans les différents clubs de la ville, le beau linge de la scène électronique international réuni dans la ville ibérique le temps d’une fête prolongée à faire pâlir d’envie les clubbers du monde entier.

En plus de la musique et de la fête, le festival, à travers sa sélection Sónar+D, fait la part belle aux nouvelles technologie et à leurs interactions avec l’art, la musique et l’industrie du spectacle. C’est bien aussi de pouvoir se cultiver un peu entre deux gros sets bien costauds.

En gros, vous l’aurez compris, cette semaine au pays des tapas est la meilleure manière d’enchaîner derrière la Villette Sonique, le Hartzine crew y sera et vous ?

Retrouvez tous les détails et la programmation complète sur le site du festival.


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Hier, sans aucune forme de prétention, nous cherchions à transcrire et à réfléchir notre époque. Curieux et audacieux, défricheur passionné, nous  explorions  sans oeillères et à travers un contenu éditorial toujours riche
et exigeant l’ensemble des strates qui composaient le monde bouillonnant de la musique indépendante, ses marges souvent nichées dans le creuset du web comme le halo médiatique qui entourait certains. Mais çà c’était avant. Aujourd’hui, on fait ce qu’on peu !

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