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Affection maximale pour l’avant-dernière soirée des guerriers de l’Humanist S.K. Festival : une poignée d’essentielles et fatales performances viendra parcourir le Petit Bain, ce samedi. C’est bien cela. Samedi 2 octobre. Dans deux jours. Dans deux jours, trois groupes foncièrement excitants défonceront la scène de notre péniche préférée. Part Chimp, Gum Takes Tooth et Headwar. Êtes-vous bien sérieux ? Jaugez-vous la qualité de ce plateau ? En toute sincérité ? Part Chimp. Sans déconner. Les quatre anglais s’étaient permis d’impérieusement carboniser les Instants Chavirés lors de leur dernier passage à Paris, l’année dernière, sous une impossible boule de feu de larsens. Il est évident qu’ils s’y attelleront de nouveau. Gum Takes Tooth. Ces deux-là n’avaient pas fait pire, à la Villette Sonique, il y a quelques mois, en déclenchant sans attendre une massive vague de crises d’épilepsie, impitoyable et définitive. Enfin, Headwar. Soit, probablement, l’un des tout meilleurs groupes live actuel. Bien entendu. Oui. Cette phrase est tout à fait convenue. Mais comment décrire en quelques lignes cette façon quasi-magique qu’ils ont d’atteindre le stade ultime de la sauvagerie, d’atteindre même la Vie, dans ce qu’elle a de plus absolu, à chaque reprise ? Difficile. Et ce n’est pas tout. Puisque si – d’une part – la défonce sera totale à l’intérieur, elle le sera – d’autre part – à l’extérieur, dans la cantine, précisément. Intérieur et extérieur. Le yin et le yang. C’est bien connu. Le magasine New Noise saucera l’ambiance à coups de disques tandis que Tarnowska achèvera minutieusement tout le monde. Pour que la fête devienne complètement folle, on offre une paire de places pour la date !
On fait gagner deux fois deux places. Pour tenter votre chance, rien de plus simple : envoyez vos nom, prénom et un mot d’amour à l’adresse hartzine.concours@gmail.com ou remplissez le formulaire ci-dessous. Les gagnants seront prévenus la veille de la soirée.
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Hier, sans aucune forme de prétention, nous cherchions à transcrire et à réfléchir notre époque. Curieux et audacieux, défricheur passionné, nous explorions sans oeillères et à travers un contenu éditorial toujours riche
et exigeant l’ensemble des strates qui composaient le monde bouillonnant de la musique indépendante, ses marges souvent nichées dans le creuset du web comme le halo médiatique qui entourait certains. Mais çà c’était avant. Aujourd’hui, on fait ce qu’on peu !
dieu vous le rendra….
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