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Le 24 février prochain marquera le retour aux affaires des excellents et rares The Notwist, avec la sortie de leur septième album, intitulé Close to the Glass, chez City Slang. On applaudit donc déjà des deux mains, après six années d’impatience depuis The Devil, You + Me. Le quatuor prend certes son temps, mais toujours à bon escient : six ans, c’est ce qui leur avait déjà fallu pour donner une suite au merveilleux Neon Golden, chef-d’œuvre intemporel dont beaucoup ne se se seraient jamais remis, le génie mélodique et la gloire faisant place à l’angoisse de la page blanche et au ratatinement artistique à l’heure d’écrire le prochain acte. Les Allemands, eux, avaient relevé le défi avec brio, refusant de choisir entre rupture et continuité, mais optant résolument, comme à leur habitude, pour le mouvement. Close to the Glass relève du même état d’esprit et constitue un nouveau sommet dans une discographie déjà riche de nombreuses cimes parnassiennes. Passé maître dans l’art d’une pop déviante à la croisée des chemins électronique et organique, le groupe promène à nouveau sa douce neurasthénie dans des territoires tantôt arides, tantôt luxuriants, peuplés de guitares rageuses ou doucereuses, de rythmiques chirurgicales, et éclairés par le chant toujours aussi captivant de Markus Acher.
En amont de ce nouvel opus tant attendu, le Divan Du Monde verra sa scène investie le 28 janvier prochain par The Notwist pour un concert très spécial, accessible uniquement sur invitation, et retransmis en direct sur Arte Live Web.
Partenaire de l’événement et jamais avare de jolis cadeaux pour son fidèle lectorat, Hartzine s’associe à City Slang afin de vous faire gagner 5 x 2 places pour ce qui s’annonce comme l’un des shows les plus excitants de ce début 2014. Pour cela, rien de plus simple : il vous suffit de nous envoyer un petit mot affectueux, en indiquant bien sûr vos nom et prénom, à l’adresse hartzine.concours@
Hier, sans aucune forme de prétention, nous cherchions à transcrire et à réfléchir notre époque. Curieux et audacieux, défricheur passionné, nous explorions sans oeillères et à travers un contenu éditorial toujours riche
et exigeant l’ensemble des strates qui composaient le monde bouillonnant de la musique indépendante, ses marges souvent nichées dans le creuset du web comme le halo médiatique qui entourait certains. Mais çà c’était avant. Aujourd’hui, on fait ce qu’on peu !
dieu vous le rendra….
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