On y sera/ concours: Eldorado Music Festival, du 11 au 14 octobre au Café De La Danse


Arrière-plan
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On s’est désormais habitués à l’agréable présence de l’Eldorado Music Festival au Café De La Danse, qui déroule chaque année, une fois la rentrée digérée et l’automne arrivé, une programmation resserrée et nerveuse. Sans ambition démesurée mais avec une certaine exigence de qualité, le festival accueille à nouveau cette année quelques fines lames qui devraient aider à faire passer la pilule automnale en beauté. Avec Clinic dans le line-up, le Café De La Danse réalise même un très joli coup, tant on aime le quatuor de Liverpool, qui livraison après livraison nous enchante avec son post-punk chirurgical. Autres stars au départ de la course, Mando Diao, toujours présents après quinze années de pop dans un paysage jonché des cadavres de groupes aux mêmes marottes mais sans doute avec moins de talent, viendront démontrer qu’ils sont toujours verts. Ajoutez à cela les présences des fêlés bourguignons de Johnny Mafia et leur garage qui pique, ou des Parisiens Junior Rodriguez & The Evil Things et leur rock qui tabasse, entre autres, et cela fait quelques motifs de se radiner à l’Eldo.
 
Pour acheter vos places pendant qu’il en reste encore, c’est par ici que ça se passe. Pour toutes les autres infos dont vous pourriez avoir besoin, c’est sur le site du festival, juste .
Et comme on est partageurs et particulièrement dévoués à notre lectorat, en association avec le Café De La Danse, on offre deux places à trois d’entre vous pour venir guincher à la soirée The Goaties / Equipe De Foot / Junior Rodriguez du 12 octobre. Pour faire partie des élus, c’est simple comme un coup de trique:  il vous suffit de nous envoyer un petit mot d’amour moite, en indiquant vos nom et prénom, à l’adresse hartzine.concours@gmail.com. Les gagnants seront tirés au sort et prévenus par mail.
 

Détails
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Hier, sans aucune forme de prétention, nous cherchions à transcrire et à réfléchir notre époque. Curieux et audacieux, défricheur passionné, nous  explorions  sans oeillères et à travers un contenu éditorial toujours riche
et exigeant l’ensemble des strates qui composaient le monde bouillonnant de la musique indépendante, ses marges souvent nichées dans le creuset du web comme le halo médiatique qui entourait certains. Mais çà c’était avant. Aujourd’hui, on fait ce qu’on peu !

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